PS
Obtenir un permis de conduire est cher. Les candidats perdent souvent des dizaines de milliers de francs.
Peter De Ridder, représentant flamand du PS dit « Mais beaucoup d’annonces de jobs nécessitent le permis de conduire comme exigence. De là nous voulons intégrer la formation de conduite dans les 2 dernières années d’humanité. D’autant plus, les jeunes reçoivent ainsi une idée du problème de la mobilité et ils apprennent à prendre leurs propres responsabilités.
Proposer de pouvoir passer le permis à l’école n’est pas nouveau. Depuis des années ces sortes de plans circulent dans différentes associations. Maintenant commence donc une proposition, sur l’initiative de… Mais ce n’est pas l’intention de faire de la formation de conduite une branche obligatoire à l’école. L’élève doit avoir le droit de suivre ou non ces leçons. La partie théorique, par exemple 1h/semaine, peut à court terme être réalisée. Pour la partie pratique, le PS propose une bourse de conduite, analogue à la bourse d’étude.
« Cela fait +/- 75.000 étudiants qui doivent passer leur permis au pris de 25.000 fr, alors l’introduction de la bourse reviendra à 18 milliards » dit Siska G. « Ce n’est pas assez. Mais le coût social après un week-end durant lequel 11 personnes sont blessées après un accident reviendra d’après les calculs de Docteur Beaucourt à 69 milliards »
La mutualité socialiste plaide en faveur de stages de conduites défensives. Cela serait un complément à la formation de conduite.
Selon RYD, les accidents d’auto après ce stage diminuent de 50%. Un stage coûte 3.800 fr / personne. Si 75.000 étudiants suivent ce cours, cela coûtera 285 millions aux autorités.
Cette proposition n’est pas dirigée contre les autos-écoles. Au contraire, on s’efforce plutôt de faire intervenir les auto-école dans l’enseignement. Pourquoi des instructeurs ne pourraient-ils pas par exemple donner des cours à l’école ? Eventuellement les écoles pourraient utiliser les voitures des auto-école.
Le Parlement flamand a aussi demandé si le gouvernement pouvait diversifier les prix des écoles en fonctions des revenus et du rang social. Et éventuellement pour le VDAB de commencer des préparations supplémentaires pour placer les chômeurs dans la possibilité de passer un permis à moindre coût. La pression des personnes pour le marché du travail est une tâche de l’autorité. Exactement comme pour la diminution des victimes de la route. C’est pourquoi les autorités doivent être disposées à payer ces choses.
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Accident du week-end
Pourquoi les jeunes ont un comportement de conduite risqué?
4 éléments importants jouent un rôle aux accidents du week-end avec les jeunes chauffeurs. Le manque de connaissance, d’expérience, de connaissance de soi-même et le manque de motivation.
Par leur manque de connaissance (panneau de signalisation, auto, chemin…) ils font des fautes inconsciemment et ils courent inconsciemment des risques.
Par leur manque d’expérience ils sont submergés pendant la conduite avec des informations et ont une faible perception des risques.
Par leur manque de motivation ils reçoivent une perception sans danger du comportement fautif et acceptent par conséquent qu’il n’y avait aucun risque.
Ces contestations viennent du professeur Jan Pauwels du laboratoire Motorisck Leren à la KU Leuven. Il était un des portes-parole au cycle de conférence « Les jeunes conducteurs et les accidents du week-end à Bruxelles ». Mais il ajoute que les éléments psychologiques ne peuvent certainement pas être négligés.
Pour les jeunes l’auto-école est un symbole de l’âge adulte. Le jeune conducteur voit la voiture comme un prolongement de soi-même. Conduire lui donne la chance pour jouer un rôle dominant. Conduire une voiture est donc un test de leurs propres frontières. Ce schéma psychologique était établi par François Dekeyser, de la Faculté des Sciences Psychologiques de l’université de Mons, qui ajoutait encore une autre réflexion psychoanalitque. Le comportement de conduite dangereux des jeunes a un lien avec le complexe d’Œdipe (devenir adulte en s’opposant aux parents) narcissisme (confirmation de l’éloge par le dépassement des frontières) et transgression (confrontation symbolique avec la vie en prenant des risques).
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J’en ai encore des cauchemars
La discussion à propos de l’alcool et le trafic est à nouveau à l’ordre du jour : l’alcool est dans la voiture, pas plus d’alcool, boisson alcoolisée étaient à la cafétéria etc... Mais ça reste un truc qui sert à rien, aussi longtemps que les gens ne se rendent pas compte que l’utilisation de l’alcool dans le trafic peut faire de la casse. Cette année, 450 habitants du Brabant Flamand , qui avec un verre de trop, qui étaient derrière le volant et étaient plein, ont reçu de manière forcée un cours à propos de l’alcool et la circulation.
Par Jeroen Van Sambeeck
“Des gens de tous les rangs étaient ici sur les bancs. Il y a aussi des personnes publiques connues. La plupart des cursistes sont des hommes entre 30 et 50 ans. Mais dans chaque classe il y a au moins une fille. J’ai bien l’impression que la proposition des jeunes générations augmentent. » ? des normes et des valeurs, Anneke de Bruin coordonne dans le Brabant Flamand la réalisation des règles éducatives de l’alcool et du trafic. Sur base de ça, les conducteurs doivent assez bien suivre (forcés) un cours à propos du verre de trop (13 pour mille), à propos de l’influence de l’alcool dans le trafic. C’est une règle qui vient par dessus une décision judiciaire. Le tribunal ne décide pas si il doit ou non suivre le cours, mais le CBR, l’instance qui délivre le permis de conduire – Anneke de Bruin, de l’aide par le CBR pour donner des cours. Elle est spécialisée dans l’information à propos de l’alcool et du trafic.
John S « J’attends que nous soyons drillés, mais c’est mieux qu’on avait cru. Le chef du cours ressemble à un homme chaud. Dans le groupe je reconnais bien qqun d’un village voisin. Pendant le tour de table pour se présenter, je débite vite mon petit récit. De manière très formelle, comme la plupart. »
Anneke de Bruin : « Le point commun dans les récits est l’injustice » et « que je devais être là ». Beaucoup se sentent le pigeon du contrôle de police que leur propre emploi d’alcool. Les participants qui sont pris par un accident font moins preuve de sentiment d’injustice. Quelques temps après le cours, quand on a déjà beaucoup conté à propos de la présence d’alcool dans le sang et les réactions du comportement humain, les cursistes sont confrontés avec leurs propres habitudes de boisson.
L’alcool dans le trafic semble encore être un comportement habituel. Les automobilistes semblent pendant des années suivrent une même route après l’utilisation d’alcool. Du club de sport par exemple. Ils raisonnent très fort à la manière de : c’est une petit morceau à conduire / il n’est quand même jamais contrôlé / je suis quand même un conducteur expérimenté ou d’autre veulent que je prenne part. Surtout la pression sociale pour boire est une immense expérience pour les automobilistes punis. « Tu dois t’excuse en Hollande si tu ne bois pas de bière ou de vin. Tu es désagréable ou fade quand tu ne prends pas part. La plupart de tes amis te servent ta bière sans l’avoir demandée. Quelques personnes ne peuvent pas dire non. Quand le parton téléphone le soir à la maison avec la question ou tu veux aller encore faire quelques heures au bureau, presque personne n’a le cran de dire que tu ne viens pas parce que tu es tout juste assis avec une bière devant la télé. Et qui ne fait pas un ? à une fête ou un dîner d’affaire ? »
Johan S « Quand nous venions de notre village à Findhoven il a toujours été convenu que qqun reste sobre pour conduire. Quand ça ne réussit pas, nous appelons un taxi ou un taxi moto vers la maison. Pendant les dernier week-end moi j’ai eu des court-circuits dans mon cerveau. Je me suis saoulé à cause d’un chagrin d’amour. Vraiment j’étais déjà plus loin que sous terre. De la partie du trajet du bistrot à l’accident je ne peux plus me rappeler de rien. Je sais bien que directement après l’accident la police venait et que je devais courir sur une ligne blanche. Dieu merci il n’y avait personne de blessé par l’accident. Quand j’étais amené au bureau et soumis à l’alco-test. Mon permis de conduire a été confisqué pendant 180 jours. J’ai été déposé par un taxi à la maison. » Le jour d’après Johan était dans une situation qu’il ne peut décrire comme un état second. Malgré cette situation, il allait le lundi comme d’habitude à son travail. « Les transports publics de la Campine sont un drame. Ce matin, ¾ heure vers la gare de Findhoven et alors attendre un collègue qui m’embraque. Ce soir presque 2 heures de bus pour le retour. Je racontais à mon travail que mon permis de conduire était confisqué. C’est jamais facile ou ça m’embête. Après ça je suis content que ça ait été dit parce que je ne dois plus imaginer de mensonge à propos de toutes les conséquences. Mon chef m’a demandé entre temps ou je veux raconter à mon travail à un petit groupe de collègues à propos de ce que j’ai fait et ai appris. Je veux bien, mais je dois encore en avoir le cran. Toutes les histoires fortes du bistrot (et du travail) étaient repoussées pendant le cours. Aussi la petite histoire un peu mieux que l’autre. Toutes les capacités de réaction de l’alcool ont une influence négative, tout le monde reçoit à faire avec la vision comme dans un tunnel et la vision double. Et quand le cursiste est encore fait clairement que ça se passe à présent une nouvelle condamnation et tombe à nouveau dans une vieille faute, il est temps pour la confrontation avec les victimes d’accident à cause de l’utilisation de l’alcool »
Anneke de Bruin : « Nous n’avons pas l’habitude de montrer le sang en 3 dimensions. Les vidéos interview avec les auteurs, victimes et survivants qui sentent comme avoir reçu une peine avec perpétuité, saisissent vraiment bien les cursistes. Tout le monde a quelque part de la famille et des amis. » L’auto compassion des cursistes disparaît : « Ca pouvait être moi ou mon enfant » et « j’ai quand même eu de la chance. »
Johan S « On a montré des vidéo interview réalistes. C’était prenant. Je devais avaler par le film à propos d’un jeune qui peut parler difficilement par la lésion cérébrale encourue par sa mal chance. Maintenant encore la pensée hante souvent ma tête que j’aurais pu tuer qqun. Là j’en ai encore des cauchemars. Je suis arrivé à me convaincre que tout le monde qui va passer son permis de conduire oblige de devoir suivre un tel cours. Le jeu de rôle les déplaît pendant le cours. Je trouvais que certains dans le groupe par l’imitation de la pratique de tous les jours pouvait être rapidement convaincant pour déposer une bière. Quelques personnes disent qu’ils sont seulement là parce qu’ils doivent. Ces participants doivent finalement répondre à chaque question, pour eux, commet ils iront dans l’avenir avec l’alcool dans les relations du trafic.
« Quand les soirs hebdomadaires au club de sport, ils veulent automatiquement dire que tu bois de l’alcool. Ca peut vouloir dire que tu dois éviter. »
Beaucoup de gens prennent une conclusion dans un état sobre comment ils iront dans les cours qui suivent avec l’alcool, mais la conclusion finale pour conduire bien ou pas mène : ils prennent avec la boisson. En une fois, le dernier bus est parti ou il n’y a pas assez d’argent pour le taxi ou la voiture doit encore être parquée sûrement ou le barman reçoit la clé de voiture et doit un peu faire attention. Règle ton transport habituellement bien quand tu vas quelque part où tu bois. Le plus simple est : ne prends pas ta voiture ou simplement ne bois pas d’alcool.
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Ca ne veut pas dire grand chose mais c'est peut-être déjà un peu plus compréhensible qu'en flamanc.... Il faut comprendre les idées principales. Bonne merde à tous!