latin

voici quelques traductions

un homme terrasse la religion
alors que la vie humaine gisait lamentablement sous nos yeux sur terre, écrasée sous le poids de la religion qui montrait sa tête du haut des régions célestes menaçant d'en haut les mortels par son aspect horrible, en premier, un homme grec a osé lever ses yeux de mortel contre et le premier résister contre ; lui que ni la réputation des dieux, ni les éclairs, ni le iel avec son tonnerre menaçant n'ont accablé, mais il a d'autant plus tendu la force vive de son esprit si bien qu'il a voulu briser le premier les verrous bloqués des portes de la nature. Donc la force percutante de son esprit a remporté une victoire totale et il s'est avancé loin au-delà des murailles enflammées du monde et il a parcouru en esprit et en intelligence l'univers tout entier. De là, vainqueur, il nous rapporte ce qi peut naître et ce qui ne le peut pas, et enfin, par quelle raison la puissance et la limite profondément fixées ont été déterminé pour chaque chose. C'est pourquoi la religion, foulée au pieds, est à son tour écrasée ; la victoire nous met sur le même pied que le ciel

Invocation à Venus
Mère des Enéiades, plaisir des hommes et des dieux, Venus la nourricère, toi qui su les constellations remplit de ta présence la mer porteuse de navires, qui remplit la terre porteuse de fruits, puisque grâce à toi est conçue toute espèce d'être vivant et qu'elle contemple dès sa naissance la lumière du soleil, toi déesse, les vents te fuyent, les nuages du ciel fuyent ton arrivée, c'est pour toi que la terre inépuisable se couvre de fleurs parfumées, c'est pour toi que les mers sourient et que le ciel apaisé brille d'une lumière étincellante.
En effet, dès que l'aspect printanier de la saison se manifeste et que d'abord renfermé le souffle fécond de Favonius eut repris vigueur, les oiseaux d'abord dans les airs t'annoncent dès ton arrivée, frappés au coeur par ta force. Ensuite les bêtes sauvages, les animaux domestiques, parcourent en sautillant les gras paturâges et traversent à la nage les fleuves torrentueux : ainsi pris par ton charme, chaque animal te suis avec avidité là où tu veux le mener. Finalement, dans les mers et dans les fleuves torrentueux et les demeures feuillues des oiseaux et les campagnes verdoyantes,tu touches chez tous, le coeur par l'amour caressant et tu obtiens qu'avec ardeur, race par race, ils multiplient les générations. Et puisque toi seule tu gouvernes la genèse des choses et que sans toi rien ne vois le jour lumineux et que sans toi, rien de joyeux ou d'amoureux ne se produit. Je désire que tu sois mon alliée dans l'écriture des vers que moi je m'efforce d'écrire au sujet de la genèse des choses, pour notre cher Memmius dont tu as voulu, toi, déesse, qu'il soit excellent en tout temps, doté de toutes les qualités. C'est pourquoi, déesse, donne un charme éternel à mes écrits.
Je n'ai pas la deuxième partie.

La sérénité du sage
Dans quels ténèbres de vie et au milieu de combien de danger se mène cette vie quelle qu'en soit la durée ! Que la nature ne réclame pour elle même rien d'autre si ce n'est le fait que la douleur éloignée du corps soit absente et que notre esprit jouisse d'une sensation agréable pendant que le soucis et la peur sont supprimés. Nous voyions don que pour notre nature physique, très peu de choses sont absolument nécessaires : tout ce qui peut écarter la douleur pour fournir également de nombreux plaisirs. Sur ces entrefaites, la nature elle-même n'exige rien de plus appréciable que lorsque des amis étendus sur l'herbe douce, proche d'une rivière, sous les hautes branches d'un arbre, soignent leurs corps avec joie sans grande dépenses, surtout lorsque le temps sourit et que les saisons jonchent l'herbe vrdoyantes de fleurs.

Celle qu'on aime est toujours belle.
En effet, la plupart des gens font ceci, aveuglés par le désir, et attribuant à ceux - ci toutes les qualités qui en réalité n'en sont pas. Nous voyions donc que des femmes dépravées et honteuses sont considérées comme un plaisir et avec le plus grand honneur . Et ils se moquent les uns des autres et se persuadent (les uns les autres) de calmer Vénus parce qu'ils sont affligés d'un amour vils et malheureux souvent ne se rendent pas compte de leur propre catastrophe. La noire a un teint de miel ; l'immonde et la mal odorante est une beauté négligée. Celle qui a les yeux pers c'est une Pallas ; celle qui est tout en nerfs et en fibres c'est une gazelle, la naine c'est une pigmée, une des Grâces, un grain de sel pur à elle tout entière ; celle qui est grande et géante c'est un émerveillement, elle est couverte d'honneur, celle qui béguaille, qui ne sait pas parler, en fait elle gazouille ; la muette est réservée. Mais celle qui est brûate, odieuse et bavarde est comme un volcan. Le petit être frêle devient un être aimable lorsqu'elle ne peut plus vivre à cause de sa maigreur, celle qui est maigre comme un clou est en fait déjà morte de toux. Mais celle qui est gonflée et toute en mameles, c'est Cérès elle-même à partir du moment où elle a donné naissance à Bacchus. Celle qui a un nez applati est en fait une Silène ou une Satyre et la lippue est un pur baiser. Si j'essayais d'énumérer toutes les autres choses de ce genre là, ce serait interminable.

Une religiosité inquiète n'est pas la vraie piété.
Ils placèrent les sièges et les demeures des dieux dans le ciel parce que c'est à travers le ciel que l'ont voit glisser la lune et la nuit. O malheureuse race humaine, lorsqu'elle attribua de tels actes des dieux et qu'elle y a ajouté des colères ! O quels grands gémissements alors ont engendré eux-mêmes pour eux-mêmes et quelles grandes blessures pour nous et quelles larmes pour notre descendance.
Il n'y a aucune piété à être vu souvent couvert d'un voile à se tourner vers une pierre, ni à aller à tout les autels possibles, ni à se prosterner au point d'être couché par terre, ni à tendre les mains devant les temples, ni à arroser les autels du sang abondant des quadrupèdes , ni à accumuler voeux sur voeux mais la piété c'est plutot de pouvoir tout regarder avec un esprit paisible

un esprit divin habite l'homme bon
une divinité est proche de toi, est avec toi, est en toi, un esprit sacré sège à l'intérieur de nous, observateur et grdien de nos bons et mauvais actes : ceux ci, de la même manière qu'il est traité par nous, nous traite ... Est ce que qqun peut gérer son destin s'il n'est pas aidé par lui ? Celui - là donne des conseils magnifiques et élevés : en chaque homme de bien habite un dieu (quel dieu, il est incertain ...). Si tu vois un home sans peur parmi les dangers, insensible à la cupidité, heureux dans l'adversité, calme parmi les tempêtes, regardant les hommes d'en-haut et les dieux à égalité, est ce que tu ne te sentiras pas imprégné d'une vénération pour lui ? Ne diras tu pas ? : " cet élément est trop grand pour pouvoir être considéré omme semblable à ce petit corps dans lequel il se trouve." Une force divine est descendue en cet endroit. Une puissance céleste anime un esprit excellent, maître de lui, traversant tout comme étant peu important, se moquent de ce que nous craignons et de ce que nous souhaitons ardemment. Une telle chose ne peut exister sans l'aide d'un dieu : c'est pourquoi il est dans sa plus grande partie d'où il descend. De la même manière que les rayons du soleil touchent, il est vrai, le sol mais appartiennent au lieu d'où ils sont émis. De même notre esprit grand et sacré et exilé dans notre réalité pour que nous connaissions de plus près des bribes de la divinité demeurent, il est vrai, avec nous mais il reste fidèle à son origine : elle y reste suspendu et c'est vers ce point qu'elle regarde et c'est là qu'elle s'appuie : elle fait partie de notre vie cependant, tout en étant meilleur

Merci bcp pr les traducs je pense qu'il manque plus que Tragique condition humaine qlq chose comme ca

PS: j'avais dja fais un sujet traduc de latin j'èspère que tu t'es pas cassé la tête à tout recopié

C'est quoi ce "Tragique de la condition humaine"????????????

J'ai pas ça moi

Heuuu c vrai que je sais pas tro ce que c'est j'ai rien comme traduc ni analyse ds mon cours...
Enfait y a du voc en dessous du texte c pas long (10vers) c p-e une version qu'on a eu ? Mais il y a rien qui dit que c une version y a juste le titre "Tragique de la condition humaine" et la référence c De rerum Natura v 218 à 227

C est une version je crois bien
Et merci Sophia

heu Seb il aprait que tu dois etre le specimen rare qui a des commentaires sur les cursives... J'espère que tu verras ce message ce soir... Si oui, tu veux bien apporter tes notes demain? je serai a l'ecole entre 8h20 et 11h30 ( mon heure de passage)
ca serait niiii-ckel! fais signe si tas lu ceci

ben, j'ai comme qui dirait un ptit problème puisque après fouille de ma part, je ne retrouve plus cette p*tain de feuille sur les cursives...

Soit je l'ai prêtée et on ne me l'a pas rendue, mais je ne pense pas, soit je l'ai paumée...
Je ferai encore des recherches ce soir, si je la retrouve je mets les comm sur le forum...

voici la 2 ème partie de l'hymne à venus

Fais cependant que les fureurs de la guerre s'assoupissent, et laissent en repos la terre et l'onde. Toi seule peux rendre les mortels aux doux loisirs de la paix, puisque Mars gouverne les batailles, et que souvent, las de son farouche ministère, il se rejette dans tes bras, et là, vaincu par la blessure d'un éternel amour, il te contemple, la tête renversée sur ton sein; son regard, attaché sur ton visage, se repaît avidement de tes charmes; et son âme demeure suaspendue à tes lèvres. Alors, ô déesse, quand il repose sur tes membres sacrés, et que, penchée sur lui, tu l'enveloppes de tes caresses, laisse tomber à son oreille quelques douces paroles, et demande-lui pour les Romains une paix tranquille. Car le malheureux état de la patrie nous ôte le calme que demande ce travail; et, dans ces tristes affaires, l'illustre sang des Memmius se doit au salut de l'État.

En effet, en soi, la nature des dieux dans son ensemble jouit nécessairement de la paix dans une durée éternelle, à l'écart, bien loin, coupée de nos affaires. Car exempte de toute souffrance, exempte des dangers, puissante par ses propres ressources, elle n'a nul besoin de nous, insensible aux faveurs, indifférente à la colère

Sophia a écrit:

En effet, en soi, la nature des dieux dans son ensemble jouit nécessairement de la paix dans une durée éternelle, à l'écart, bien loin, coupée de nos affaires. Car exempte de toute souffrance, exempte des dangers, puissante par ses propres ressources, elle n'a nul besoin de nous, insensible aux faveurs, indifférente à la colère

ca sort d'ou?????? a mon avis tas une traduc d'internet et t'as pris torp de vers...

autre question : il fautle thème de l'écriture avec Quintilien etc?
et tjrs pas d'apparitions chez qq'un ou qq'une pr les cursives??
Qui a entendu quoi par rapport aux exposés? on a quand mm rien recu d'autre que la feuille des traducs? faut comprendre tout?

Pour Quintilien, il me semble qu'il faut mais moi j'ai pas de commentaires, c'est normal??

Noooooooon!!
please que qq'un me dise que il faut pas quintilien

il faut pas quintillien

parole d'helleniste

moi jdi ki fo pas kintilien ! je suis la parole de Cesar

Ok ben je l'étudie alors.
Merci du conseil

Et Lucrèce qq'un sait si y faut?

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