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 Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe

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Bireu
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MessageSujet: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyLun 5 Juin - 12:23

*Hello,

Pour l'exam, faut relire une version de sophocle,…
problème c'est pas moi qui l'ai,

y aurait-il moyen de vaguement me donner le contenu ?

merci

*Cherche traduc de TOUS les textes sur le banquet

merci
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Gonzague
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyLun 5 Juin - 12:49

jte passe ca ds le courant de la journée ce soir ! prob c ke je c pas c kel version ms jte filerai tt
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Bireu
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyJeu 8 Juin - 21:03

tu sais faire ça stp ?
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyJeu 8 Juin - 21:14

jte fais ca vendredi en rentrant.. ms rappelle moi kfo ke jle fasse la jfais math .. ;pr encore une heure pi dodo psq prout koi
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Bireu
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptySam 10 Juin - 9:46

ca m'arrangerait que tu le fases aujdhui Wink
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptySam 10 Juin - 15:34

bon voici la traduction mais j'ai u 15/20 ! j'essai de traduire avk ske casteels a mi ms c pas evident dc ... enfin j'ai fait mon possible voila ske ca donne la derniere phrase est + nebuleuse

j'arrive en marchant dans ces régions où toi tudis que ce roi ( Laios) a peri. et pour toi, femme, je cherche la verité; lorque j'étais sur cette triple route, cheminant près de là, un héraut et un chomme sur un char tiré par des poulains sont arrivés en sens contraire de moi, comme tu dis je l'ai rencontré. le cocher lui-meme et le vieillard me repoussèrent avec force hors de la route. Et moi je frappais celui qui voulait me repousser et le conducteur avec force; le vieillard me vit, alors que je passais tout près du char et me guettait, et il m'atteignit au milieu de la tête avec son aiguillon à double pointe et il ne paya pas une peine égale à l'offence mais en résumé a été frappé par mon baton et il roule sur son dos en dehors du centre de son char... je l'ai ai tous tué. Si un lien de parenté se rapporte a cet etranger avec laios, maintenant qui est plus malheureux que moi ? Quel homme pourarit devenir plus haïssable ? Qu'il n'est pas permis à aucun étrangers ni des citadins d'accueillir dans sa maison ni de s'adresser a lui
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptySam 10 Juin - 16:35

t'aurais pas les traducs des textes de platon sur le banquet ?

ce serzit bien cool
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MessageSujet: Re: Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyDim 11 Juin - 0:41

ca ket c pr demain ...
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MessageSujet: TRADUCTIONS / TOUTES   Grec : Un peu de tout, et surtout de n'importe EmptyDim 11 Juin - 17:53

Source : http://remacle.org/bloodwolf/faulx/oedipe/introduction1.htm

OEDIPE. - Toi qui scrutes tout, à Tirésias, aussi bien ce qui s'enseigne que ce qui demeure interdit aux lèvres humaines, aussi bien ce qui est du ciel que ce qui marche sur la terre, tu as beau être aveugle, tu n'en sais pas moins de quel fléau Thèbes est la proie. Nous ne voyons que toi, seigneur, qui puisses contre lui nous protéger et nous sauver. Phoebos, en effet - si tu n'as rien su par mes envoyés -, Phoebos consulté nous a conseillés ainsi: un seul moyen nous est offert pour nous délivrer du fléau ; c'est de trouver les assassins de Laïos, pour les faire ensuite périr ou les exiler du pays. Ne nous refuse donc ni les avis qu'inspirent les oiseaux, ni aucune démarche de la science prophétique, et sauve-toi, toi et ton pays, sauve-moi aussi, sauve-nous de toute souillure que peut nous infliger le mort. Notre vie est entre tes mains. Pour un homme, aider les autres dans la mesure de sa force et de ses moyens, il n'est pas de plus noble tâche.
TIRÉSIAS. - Hélas ! Hélas ! Qu’il est terrible de savoir, quand le savoir ne sert de rien à celui qui le possède! Je ne l'ignorais pas ; mais je l'ai oublié. Je ne fusse pas venu sans cela.
OEDIPE. - Qu'est ce là ? Et pourquoi pareil désarroi à la pensée d'être venu ?
TIRÉSIAS. - Va, laisse-moi rentrer chez moi : nous aurons, si tu m'écoutes, moins de peine à porter, moi mon sort, toi le tien.
OEDIPE. - Que dis-tu? Il n'est ni normal ni conforme à l'amour que tu dois à Thèbes, ta mère, de lui refuser un oracle.
TIRÉSIAS. - Ah ! C’est que je te vois toi-même ne pas dire ici ce qu'il faut ; et, comme je crains de commettre la même erreur à mon tour...
OEDIPE. - Non, par les dieux! Si tu sais, ne te détourne pas de nous. Nous sommes tous ici à tes pieds, suppliants.
TIRÉSIAS. - c'est que tous, tous, vous ignorez... Mais non, n'attends pas de moi que je révèle mon malheur - pour ne pas dire : le tien.
OEDIPE. - Comment? Tu sais, et tu ne veux rien dire ! Ne comprends-tu pas que tu nous trahis et perds ton pays ?
TIRÉSIAS. - Je ne veux affliger ni toi ni moi. Pourquoi me pourchasser vainement de la sorte ? De moi tu ne sauras rien.
OEDIPE. - Ainsi, à le plus méchant des méchants - car vraiment tu mettrais en fureur un roc -, ainsi, tu ne veux rien dire, tu prétends te montrer insensible, entêté à ce point ?
TIRÉSIAS. - Tu me reproches mon furieux entêtement, alors que tu ne sais pas voir celui qui loge chez toi, et c'est moi qu'ensuite tu blâmes !
OEDIPE. - Et qui ne serait en fureur à entendre de ta bouche des mots qui sont autant d'affronts pour cette ville ?
TIRÉSIAS. - Les malheurs viendront bien seuls : peu importe que je me taise et cherche à te les cacher!
OEDIPE. - Mais alors, s'ils doivent venir, ne faut-il pas que tu me les dises?
TIRÉSIAS. - Je n'en dirai pas plus. Après quoi, à ta guise ! Laisse ton dépit déployer sa fureur la plus farouche.
OEDIPE. - Eh bien soit ! Dans la fureur où je suis, je ne cèlerai rien de ce que j'entrevois. Sache donc qu'à mes yeux c'est toi qui as tramé le crime, c'est toi qui l'as commis- à cela près seulement que ton bras n'a pas frappé. Mais, si tu avais des yeux, je dirais que même cela, c'est toi, c'est toi seul qui l'as fait.
TIRÉSIAS. - Vraiment? Eh bien, je te somme, moi, de t'en tenir à l'ordre que tu as proclamé toi-même, et donc de ne plus parler de ce jour à qui que ce soit, ni à moi, ni à ces gens ; car, sache-le, c'est toi, c'est toi, le criminel qui souille ce pays !

OEDIPE. - O très chère femme, Jocaste que j'aime, pourquoi m'as-tu fait chercher dans le palais ?
JOCASTE. - Ecoute l'homme qui est là, et vois en l'écoutant ce que sont devenus ces oracles augustes d'un dieu.
OEDIPE. - Cet homme, qui est-il ? Et qu'as-il à me dire ?
JOCASTE. - Il vient de Corinthe et te fait savoir que Polybe n'est plus : la mort a frappé ton père.
OEDIPE. - Que dis-tu, étranger ? Explique-toi toi-même.
LE CORINTHIEN. - S'il me faut tout d'abord te rendre un compte exact, sache bien qu'en effet Polybe a disparu.
OEDIPE. - Victime d’un complot ou d’une maladie ?
LE CORINTHIEN. - Le moindre heurt suffit pour mettre un vieux par terre.
OEDIPE. - Le malheureux, si je t'en crois, serait donc mort de maladie ?
LE CORINTHIEN. - Et des longues années aussi qu'il a vécues.
OEDIPE. - Ah ! Femme, qui pourrait désormais recourir à Pythô, au foyer prophétique? Ou bien à ces oiseaux criaillant sur nos têtes? D'après eux, je devais assassiner mon père : et voici mon père mort, enseveli dans le fond d'un tombeau, avant que ma main ait touché aucun fer !... à moins qu'il ne soit mort du regret de ne plus me voir? Ce n'est qu'en ce sens qu'il serait mort par moi. - Le fait certain, c'est qu'à cette heure Polybe est dans les Enfers avec tout ce bagage d'oracles sans valeur.

_________________________________________________________

source : http://bcs.fltr.ucl.ac.be/

De quel père, dis-je, et de quelle mère est-il né? — C'est un peu long à raconter, répondit Diotime; je vais pourtant te le dire. Quand Aphrodite naquit, les dieux célébrèrent un festin, tous les dieux, y compris Poros, fils de Métisso Le dîner fini, Pénia, voulant profiter de la bonne chère, se présenta pour mendier et se tint près de la porte. Or Poros, enivré de nectar, car il n'y avait pas encore de vin, sortit dans le jardin de Zeus, et, alourdi par l'ivresse, il s'endormit. Alors Pénia, poussée par l'indigence, eut l'idée de mettre à profit l'occasion, pour avoir un enfant de Poros : elle se coucha près de lui, et conçut l'Amour. Aussi l'Amour devint-il le compagnon et le serviteur d'Aphrodite, parce qu'il fut engendré au jour de naissance de la déesse, et parce qu'il est naturellement amoureux du beau, et qu'Aphrodite est belle. Etant fils de Poros et de Pénia, l'Amour en a reçu certains caractères en partage. D'abord il est toujours pauvre, et, loin d'être délicat et beau comme on se l'imagine généralement, il est dur, sec, sans souliers, sans domicile; sans avoir jamais d'autre lit que la terre, sans couverture, il dort en plein air, près des portes et dans les rues; il tient de sa mère, et l'indigence est son éternelle compagne. D'un autre côté, suivant le naturel de son père, il est toujours à la piste de ce qui est beau et bon; il est brave, résolu, ardent, excellent chasseur, artisan de ruses toujours nouvelles, amateur de science, plein de ressources, passant sa vie à philosopher, habile sorcier, magicien et sophiste. Il n'est par nature ni immortel ni mortel; mais dans la même journée, tantôt il est florissant et plein de vie, tant qu'il est dans l'abondance, tantôt il meurt, puis renaît, grâce au naturel qu'il tient de son père. Ce qu'il acquiert lui échappe sans cesse, de sorte qu'il n'est jamais ni dans l'indigence ni dans l'opulence, et qu'il tient de même le milieu entre la science et l'ignorance,





mais pour le dernier degré, la contemplation, qui en est le but, pour qui suit la bonne voie, je ne sais si ta capacité va jusque-là. Je vais néanmoins, dit-elle, continuer, sans ménager mon zèle ; essaie de me suivre, si tu peux. - Quiconque veut, dit-elle, aller à ce but par la vraie voie doit commencer dans sa jeunesse par rechercher les beaux corps. Tout d'abord, s'il est bien dirigé, il doit n'aimer qu'un seul corps et là enfanter de beaux discours. Puis il observera que la beauté d'un corps quelconque est soeur de la beauté d'un autre ; en effet, s'il convient de rechercher la beauté de la forme, il faudrait être bien maladroit pour ne point voir que la beauté de tous les corps est une et identique. Quand il s'est convaincu de cette vérité, il doit se faire l'amant de tous les beaux corps, et relâcher cet amour violent d'un seul, comme une chose de peu de prix, qui ne mérite que dédain. Il faut ensuite qu'il considère la beauté des âmes comme plus précieuse que celle des corps, en sorte qu'une belle âme, même dans un corps médiocrement attrayant, lui suffise pour attirer son amour et ses soins, lui faire enfanter de beaux discours et en chercher qui puissent rendre la jeunesse meilleure. Par là il est amené à regarder la beauté qui est dans les actions et dans les lois, à voir que celle-ci est pareille à elle-même dans tous les cas, et conséquemment à regarder la beauté du corps comme peu de chose. Des actions des hommes, il passera aux sciences et il en reconnaîtra aussi la beauté; ainsi arrivé à une vue plus étendue de la beauté, il ne s'attachera plus à la beauté d'un seul objet et il cessera d'aimer, avec les sentiments étroits et mesquins d'un esclave, un enfant, un homme, une action. Tourné désormais vers l'Océan de la beauté et contemplant ses multiples aspects, il enfantera sans relâche de beaux et magnifiques discours et les pensées jailliront en abondance de son amour de la sagesse


— Celui qu'on aura guidé jusqu'ici sur le chemin de l'amour, après avoir contemplé les belles choses dans une gradation régulière, arrivant au terme suprême, verra soudain une beauté d'une nature merveilleuse, celle-là même, Socrate, qui était le but de tous ses travaux antérieurs,
— beauté éternelle qui ne connaît ni la naissance ni la mort, qui ne souffre ni accroissement ni diminution, beauté qui n'est point belle par un côté, laide par un autre, belle en un temps, laide en un autre, belle sous un rapport, laide sous un autre, belle en tel lieu, laide en tel autre, belle pour ceux-ci, laide pour ceux-là; beauté qui ne se présentera pas à ses yeux comme un visage, ni comme des mains, ni comme une forme corporelle, ni comme un raisonnement, ni comme une science, ni comme une chose qui existe en autrui, par exemple dans un animal, dans la terre, dans le ciel ou dans telle autre chose; beauté qui, au contraire, existe en elle-même et par elle-même, simple et éternelle, de laquelle participent toutes les autres belles choses, de telle manière que leur naissance ou leur mort ne lui apporte ni augmentation, ni amoindrissement, ni altération d'aucune sorte.



PS : Les traductions de Platon sont pas pil poil au mot près, Casteels a parfois enlever des morceaux de texte,

mais je n'ai pu trouver mieux
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